Dans le cadre de Renaissance, une exposition de fleurs étranges. L’accès n’est pas évident, sortant du métro Bois-Blanc Il faut du temps pour trouver La Maison Folie du Colysée. 

Installation florale d’Azuma Makoto, vue macro. © QH

Le Colysée, La Maison Folie de Lambersart, vue de l’extérieur. © QH

 

Par contre, une fois arrivés,

Nous a accueilli un beau jardin immense.

Jusqu’où les amaryllis qui poussent

Sur les labyrinthes de béton

Nous mènent-elles ?

Les fleurs enveloppées de nylon

Les labyrinthes d’amaryllis qui mènent à l’installation. © QH

 

« Azuama Matoko, artiste floral » du nom de l’exposition et du commissaire qui, avec l’art japonais, l’Ikebana, n’a pas de lien …

Fleuriste de profession avec les fleurs, il découvre d’autres horizons visibles dans ses créations : expérimentales installations.

Il a envoyé les bonsaïs dans l’espace et a emprisonné les fleurs dans la glace.

Cette fois-ci, qu’est-ce qu’il invente ? La vie des fleurs en suspend ?

Les fleurs en sachet nylon. © QH

 

L’exposition est d’un autre genre.

Non plus arrangement de fleurs

mais une façon de les dresser dans un sachet transparent

Une fleur emballée sous vide. © QH

 

Tout plat, tout fin, comme un herbier ?

Non, car les fleurs emballées sous vide

Gardent toujours leur couleur vide 

Les visiteurs appréciant l’installation. © QH

 

Contemplation ?

ou leçon de botanique ?

Un visiteur lisant en savourant l’ambiance de l’exposition. © QH

 

Et pourquoi pas y venir pour simplement lire et passer des heures devant de magnifiques fleurs ?

Vue nocturne de l’installation. © QH

 

Sans parfum, sans plante vivante tout juste une installation dont la forme et les couleurs font illusion.

Dieu-Quynh HOANG

#artfloral

#rlille3000

#japon